Pour aider Ludivine et Rodolfo Cazares
Si chacun d'entre vous envoyait un courrier recommandé avec AR au député de sa circonscription, lui demandant de poser une question au Parlement concernant le sort de Rodolfo, peut-être arriverions nous à faire bouger progressivement et concrètement l'ensemble de nos représentants !!
Voiçi une lettre-type que vous pouvez copier-coller. Cela ne devrait ainsi pas vous prendre trop de temps !
Si vous êtes d'accord, il vous suffit de rajouter dans la lettre en en-tête vos coordonnées et signer !
Encouragez aussi vos amis partout en France à le faire, l'impact sera d'autant plus grand et l'action efficace.
Je profite de l'occasion pour vous remercier du fond du coeur de votre immense soutien et de vos encouragements si présents chaque jour. Sans vous, "mon" combat n'existerait tout simplement pas.
Merci pour Rodolfo.
Avec toute mon affection.
Ludivine Barrier
Grand merci à tous!
Monsieur le Député,
La récente libération de Florence Cassez a permis de
remettre en lumière le drame vécu depuis trop longtemps par la population
mexicaine, ainsi que par de nombreux occidentaux amenés à séjourner dans ce
pays. Assassinats, enlèvements et disparitions sont le quotidien d’un État
longtemps ravagé par la corruption et l’influence des cartels.
De nombreuses familles sont aujourd’hui orphelines
d’un époux, d’un frère, d’un père ou d’un fils innocents de toute faute, et qui
se sont simplement trouvés un jour au mauvais endroit. Parmi eux, un Français,
Rodolfo Cázares, enlevé avec
son épouse française Ludivine Barbier Cázares et ses proches dans la
municipalité de Matamoros le 09 juillet 2011. Les auteurs de cet enlèvement
appartiendraient au Cartel du Golfe.
La récente élection d’Enrique Peña Nieto a redonné
de l’espoir à beaucoup de familles. La « Loi des victimes » a enfin été
promulguée, et un certain nombre de dignitaires suspectés d’être corrompus ont
été écartés. Mais en ce qui concerne Rodolfo Cázares, rien de concret n’a
encore été entrepris ni par les autorités mexicaines ni par les autorités
françaises.
C’est la raison pour laquelle je me permets
aujourd’hui de m’adresser directement à vous, Député de ma circonscription. En
tant qu’élu du peuple, vous me représentez au Parlement. Ainsi, je vous demande
de bien vouloir peser de tout votre poids pour que le gouvernement français
prenne en main sans tarder ce douloureux dossier. Rodolfo ne doit pas rester «
l’otage invisible », celui dont on ne parle pas.
Une pétition, lancée il y a quelques semaines, a
déjà recueilli plus de 71.000 signatures. Mais les politiques doivent
maintenant relayer ce mouvement, qui ne cesse de s'amplifier pas.
Je tiens à vous préciser que je fais cette démarche
auprès de vous avec l’accord de Ludivine Barbier Cázares, l’épouse de
Rodolfo, qui a été libérée trois jours après l'enlèvement. Depuis, elle attend
dans l’angoisse.
Vous trouverez sur internet de nombreux liens
détaillant ce drame, mais je me permets de vous en communiquer deux :
Dans l’attente et l’espoir de votre réponse, je vous
prie d’agréer, Monsieur le Député, l’expression de mes respectueuses
salutations.
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